Un moment, j’en ai eu marre de me laisser hypnotiser par ma colère et les autres émotions « basses » (tristesse, mélancolie, mal-être, déprime, mauvaise humeur…).
La colère a ceci de spécial qu’elle nous abîme et qu’elle blesse les autres: nos proches, l’entourage professionnel…
Je vais partager ici ma vérité, ma compréhension de la colère, comment gérer la colère et comment j’ai réussi à m’en débarrasser… et comment réagir face à quelqu’un qui est en colère…
Je ne suis pas thérapeute, clinicienne, docteur, psychiatre…
Vous avez parfaitement le droit de ne pas être d’accord avec moi. Je vous livre ici ma réflexion pour que vous puissiez réfléchir par vous-même, identifier mieux vos comportements et peut-être mieux gérer la colère (voire vous en débarasser définitivement).
La colère : mise à feu !
Quand je me mets (mettais 🙂 ) en colère, je démarre au quart de tour.
Il suffit d’une situation que je perçois comme injuste, comme une agression ou juste une saturation de « petites choses », comme des petites gouttes qui font déborder le vase.
On ne dit rien, on ne dit rien, on explose…
Quand je suis en colère, je suis hypnotisée : j’ai l’impression de ne plus être aux commandes. Je me vois comme « derrière mon corps » en train de voir le déluge s’abattre autour de moi.
D’ailleurs, les expressions de la langue française sont très intéressantes : « cela m’a mis hors de moi ». Hors de moi ? Revenez en arrière : avez-vous aussi eu l’impression d’être « hors de vous » ? c’est-à-dire de ne plus être vous-même ?
D’ailleurs, mon compagnon me dit dans ces moments qu’il a l’impression de ne pas avoir la même personne devant lui, que c’est « quelqu’un d’autre »: mon regard n’est plus le même (il est photographe et très attentif au regard de l’autre).
Il y a plusieurs années, cette colère m’habitait pendant plusieurs jours : 3, 4 5 jours où j’étais en mode « électrique » ou « nucléaire ».
Quand la colère est partie, je suis comme « vidée » de mon énergie et je culpabilise de ne pas avoir su désamorcer cette crise avant qu’elle n’explose et d’avoir blessé mon entourage.
Je mettais alors souvent plusieurs jours pour me remettre, pour retrouver mon niveau d’énergie et de vitalité.
Je vous explique dans le détail ce que je ressens car cela permet de faire le lien avec mon ressenti sur le pourquoi et comment gérer cette colère.
La colère, un moyen d’expression des enfants
Les bébés et les enfants se mettent en colère. C’est un de leurs moyens d’expression car ils ont du mal à exprimer ce qu’ils veulent (faim, peur, …) et ils sont face à des adultes tout-puissants qui ne comprennent pas tout et qui leur dictent ce qu’ils doivent faire (pour leur bien… ou pas – mais c’est un autre débat).
Normalement, à l’âge adulte, il n’y a plus de raison de se mettre en colère car nous avons les moyens de nous exprimer et d’influer sur les situations OU de comprendre que nous ne pouvons pas changer la situation et d’apprendre à lâcher-prise.
Je ne dis pas que ce n’est pas bien de se mettre en collère. Ce n’est pas le sujet. Je ne vais pas débattre des colères justes… Face à l’insoutenable, à une trahison, on se met en colère. C’est une réaction normale. Mais cette colère ne devrait pas nous habiter pendant des jours, des mois, des années. Je pense qu’elle nous détruit intérieurement aussi. C’est pour cela qu’être capable de prendre du recul vis-à-vis de la situation, permet de retrouver le calme à l’intérieur de soi. Etre calme ne veut pas dire que l’on est d’accord ou que l’on accepte.
Cela paraît un peu bateau, ce « bla-bla » dévelopement personnel ? Et bien pour ma part, cette prise de conscience m’a permis de comprendre qu’il y a des schémas inconscients à nettoyer, que je ne fonctionnais pas normalement…
Comprendre qu’être en colère en tant qu’adulte, c’est avoir un mode de réponse réactif à des situations comme un enfant.
« La colère est mauvaise conseillère » : Gérer sa colère avant une décision ou une action
D’ailleurs, vous avez remarqué que les media et les publicités a-do-rent jouer sur nos émotions. Vous regardez un journal télévisé ? yo-yo émotionnel entre colère, compassion, tristesse. Pareil pour les publicités ! Ben oui, on n’a pas besoin de leur truc. Donc la publicité induit en nous la croyance qu’on se sentira plus heureux avec…
Tout pour nous faire prendre des décisions alors que l’on n’est pas calme à l’intérieur… C’est moche la manipulation émotionnelle…
Cette colère n’est pas la mienne
Je pense que cette colère n’est pas la mienne : elle me dépasse et me fait faire des choses inacceptables (crier sur les gens qu’on aime, non mais ???).
Quand je dis que c’est « ma colère », c’est comme si c’était une partie de moi. Sauf que sous cette colère, il y a une souffrance, une blessure, quelque chose qui fait suffisamment mal pour que ça réagisse au quart de tour.
Et peut-être que je peux décider de poursuivre ma route sans la colère, cette mauvaise compagne. Peut-être puis-je décider de la laisser sur le bord de la route. Car après tout, elle s’est invitée dans ma vie et prend beaucoup trop le pas sur mon moi véritable.
La première étape pour gérer sa colère est d’accepter la situation (oui je me mets en colère) et de dire que l’on ne veut VRAIMENT plus se mettre en colère.
Certains sont ok de se mettre en colère
Si vous lisez cet article pour aider un ami, un proche qui se met en colère, attention…
Je vous dis cela car certaines personnes qui se mettent en colère, ne sont en fait pas si gênées par leurs grandes crises et si elles semblent acquiescer lorsque vous leur parlez d’outils pour gérer sa colère, en pratique, rien ne change…
Je ne citerai pas de nom 🙂
Mais le pervers narcissique, le narcissique ou tout simplement une personne n’ayant pas d’empathie ou de compassion, ne ressent pas le besoin de gérer sa colère. Il n’est pas sensible à la souffrance de l’autre : il ne se rend souvent même pas compte que l’autre souffre. Et quand vous lui faîtes remarquer que sa énième crise vous blesse/ fait souffrir et que vous saturez vraiment, il a tendance à balayer d’un geste de la main « Oui mais c’est du passé. Je vais faire des efforts… » « oh je suis désolé » (quand il voit que vous pleurez trop fort), mais ces mots sont dits sans vraie intention de réparer (ça sonne creux en mode « passe moi le sel »)
Attention à ne pas projeter ce que vous feriez à sa place (trouver des solutions pour ne plus être en colère) et à vouloir l’aider.
On peut accompagner un proche en lui suggérant des solutions. Mais celui qui n’a pas envie de changer, vous écoutera et ne mettra rien en place ou du bout des lèvres pour « avoir la paix », pour montrer sa bonne volonté, pour que vous continuiez à vous occuper de lui en mode « sauveur ».
Pour clôturer cette parenthèse, quand quelqu’un dit qu’il souffre d’une situation ou de quelque chose et qu’après plusieurs mois ou années où vous lui avez suggéré des solutions et qu’il n’a pas « bougé », c’est qu’il y a toujours un bénéfice caché à ne pas changer, à rester dans cette situation. Sauf que vous n’en avez pas conscience (et lui probablement non plus) et que vous projetez sur lui votre façon d’être et de faire…
Comment réagir face à quelqu’un en colère
La personne que vous avez en face de vous, est hypnotisée. Ce n’est pas la « vraie » personne que vous connaissez…
Mon compagnon me dit qu’il ne veut pas discuter avec moi dans ces moments car ce n’est pas la « vraie » personne, que c’est quelqu’un d’autre… Sur le coup, ça m’énerve encore plus. Mais il sort de la « mauvaise partie de théâtre » que j’essaie de lui imposer. Je pense qu’il a la bonne attitude.
Dans ces moments, la personne en colère accuse l’autre dans un procès à charge digne d’une dictature … ou il est en colère contre lui-même. Il est sourd à tout ce qu’on peut lui dire. Ne rentrez pas dans la discussion : on ne parle pas avec quelqu’un qui est hypnotisé par la colère, les peurs…
Guérir des souffrances sous-jacentes pour ne plus avoir à gérer la colère
Pour ma part, j’ai réussi à sortir de ces crises de colère grâce au développement personnel et au travail énergétique.
Chaque énergéticien, thérapeute ou coach vous donnera sa version et son explication sous-jacente à votre colère.
Après plusieurs années de développement personnel et de soins énergétiques, je vous avoue que je me fiche un peu de la raison. Je cherche le résultat : ne plus avoir mal, ne plus souffrir de situations que je ne peux changer, ne plus mettre en colère, arriver à être sereine…
J’ai aujourd’hui franchi un cap car je ne me mets quasi plus en colère et quand cela arrive, cela dure beaucoup, beaucoup moins longtemps (souvent quelques heures, en incluant baisse d’énergie avec le retour à la normale).
Le dernier soin qui m’a aidé à passer un cap et où j’ai clairement ressenti un gros nettoyage, c’est un soin avec Abellina Saint Juste qui est médium canal et propose des soins énergétiques. Depuis les soins (soins karmiques – vies antérieures, reconnexion âme), je me sens plus apaisée et mon entourage a aussi ressenti que j’étais mieux.
Il y a 10 ans, je ne serais pas allée vers Abellina : vies antérieures et compagnie… ce n’était pas pour moi.
C’est pour cela que je ne peux pas vous dire que c’est untel la personne qu’il vous faut, que c’est le soin bidule qui vous aidera. Nous avons tous une histoire différente, des blessures intérieures différentes… A vous de vouloir vraiment changer et de demander intérieurement à être aidé.
Ce que je fais pour avoir un coup de pouce, c’est le soir, en m’endormant, je passe commande à l’Univers : « je souhaite ne plus me mettre en colère et retrouver la sérénité. je souhaite être aidé. merci » et je m’endors en m’imaginant être toujours sereine.
En général, vous entendez parler d’un thérapeute, d’une vidéo qui va faire « tilt » dans les jours/semaines qui suivent 🙂 c’est la loi d’attraction !
Faîtes vous confiance ! Si vous doutez quand vous entendez parler d’un thérapeute, regardez mes articles sur les tests musculaires pour prendre une décision sans se rater 🙂
Gérer sa colère au quotidien
La colère, c’est comme une carafe. Il y a des petites choses qui m’agacent et qui la remplissent. Et puis quand elle est remplie, elle explose.
Donc voici les techniques pour gérer la colère que j’avais:
1. Prendre conscience de mon niveau intérieur de colère refoulée
Calme, légèrement agité, passablement énervé, cocote-minute prête à exploser…
C’est l’étape la plus difficile…
En effet, au début, j’avais l’impression que ça allait, jusqu’à ce que j’explose. La colère me prenait par surprise.
Donc il a fallu que j’admette que j’avais un problème (colère = réaction d’enfant) et qu’il est de ma responsabilité de désamorcer avant que je n’explose.
Mesurer et prendre conscience de son état intérieur permet d’apporter une réponse pour désamorcer car il est plus facile de gérer sa colère avant l’explosion.
Vous pouvez par exemple vous poser la question : sur une échelle de 7 (= explosion imminente) (ou échelle de 10), je suis à combien ? en testant avec les doigts (voir mon article sur le test musculaire des doigts). Car le mental nous fait croire qu’on maîtrise et qu’on est hyper calme.
2. Identifier les situations qui me mettent en colère
Cette deuxième étape est aussi difficile : voir la vérité en face, faire un peu d’introspection pour travailler dessus …
- situation du quotidien qui semble anodine : une personne qui resquille dans le métro ou qui passe au rouge ; un enfant qui ne range pas correctement ses affaires ; le collègue qui se fait bien voir par le chef, mais qui n’en fout pas une ; vous aidez quelqu’un et il ne vous remercie même pas…
Quand vous repensez à cette situation, vous vous énervez, ça bouillonne… Vous ressentez de la colère en vous.
Mais en réalité, vous ne devriez pas être touché de cette façon par la situation…
Relisez/ lisez les Accords Toltèques : « Accord 2 : Ne jamais prendre les choses personnellement. » - situation qui vous pèse, qui n’est plus juste pour vous :
- vous ne vous plaisez plus du tout dans votre travail (/avec votre conjoint)
- > vous dormez moins bien, vous faîtes des insomnies du petit matin, vous avez mal au dos, vous vous sentez agressif/ sur les dents.
Pour avoir vécu ces situations, c’est très difficile de s’en rendre compte et de changer de travail / de se séparer car c’est stressant et très impactant. Une partie de soi ne veut pas voir ce qui nous fait mal… car j’ai peur de tout plaquer… pour faire quoi après ? Comment je vais m’en sortir ?
Donc on subit une situation, on est malheureux, on nage dans le mal-être et… par moments, la cocote-minute explose…
Gérer sa colère dans ce type de situation, c’est écoper un paquebot avec une petite cuillère…
Tant que vous n’aurez pas pris la décision de modifier quelque chose, cela ne fonctionnera pas.
Il ne s’agit pas forcément de se séparer ou changer de travail. Parfois, remettre les choses au clair et se repositionner permettent de retrouver le chemin du bien-être. Parfois, cela ne suffit pas et il faut tourner la page…
3. Respirer & Tapoter pour calmer la colère
La respiration est un outil hyper puissant pour changer son état intérieur. D’habitude, on respire de façon automatique. Quand on sent que l’on commence à bouillonner, faire des respirations longues avec pause à l’inspiration et l’expiration permet de faire baisser le rythme cardiaque et de revenir en soi.
Il y a par exemple l’application (sur iPhone) Respirelax+ qui permet de nous guider (app gratuite) sur le rythme avec musique d’accompagnement.
Pour calmer cette colère, il y a deux techniques que j’utilise où on tapote son visage et son corps.
Pour les avoir testées, c’est très efficace pour calmer sa colère et les émotions « basses » associées à une situation :
- EFT : site EFT univers
Idéal quand on a identifié le problème - Self Help for Trauma : video YouTube Self Help for trauma
Je ne sais pas pourquoi je suis en colère, c’est le bazar dans ma tête. Avec cette technique, on n’est pas obligé de savoir. On tapote et on s’apaise.
On peut aussi utiliser cette technique après s’être mis en colère, et qu’on baigne dans un océan visqueux de mal-être et de culpabilité…
Quand un enfant est en colère, on peut lui mettre cette vidéo et lui demander de tapoter. Juste regarder la vidéo a aussi de l’effet sur l’état émotionnel de l’enfant et peut l’aider à gérer sa colère.
4. Canaliser la colère : le côté préventif pour gérer sa colère
- le sport permet de canaliser et se défouler. Pour ma part, la piscine (l’eau) m’apaise et la natation est un sport doux pour les articulations.
Certains styles de yoga (travail sur la respiration, positions tenues) permettent un vrai apaisement. Au delà de l’école de yoga et du style, le professeur va aussi donner une tonalité et va résonner avec ce dont vous avez besoin.
Si c’est possible par rapport à votre rythme de vie, prenez le temps de faire un sport pas pour maigrir ou vous muscler, mais « juste » pour vous sentir MIEUX après. En fait, c’est vous faire un cadeau. - si vous n’êtes pas très sport, cela peut être une activité artistique : le modelage de la terre m’a aidé à me poser à un moment particulièrement chahuté de ma vie.
- revenir au contact de la nature : s’asseoir contre un arbre, par terre permet de se recharger de la bonne énergie et de se débarasser des « mauvaises énergies »
C’est le principe de la sylvothérapie : guérir au contact des arbres.
Au Japon, des séances de contact avec la nature sont prescrites.
Certains disent que cela a autant d’effet qu’une séance chez un psy… - tapoter, tapoter > en EFT ou en TTT. En préventif, intégrez un moment de tapotage à votre quotidien, comme le lavage de dents. C’est la « routine beauté intérieure » !
- j’utilise beaucoup les méditations : Abellina Saint-Juste – juguler la colère (sur Youtube) ; les méditations de Jan & Olivia…
Les méditations me permettent de retrouver un calme intérieur et de sortir de l’état d’hypnose.
5. Gérer sa colère en changeant l’alimentation
J’évoquais dans un précédent article que l’arrêt total des laitages a eu un impact très important sur mon état émotionnel. Cela n’est pas vrai pour tout le monde. Mais je vous livre cette piste… Lire mon article. Je me suis rendue compte que quand je mangeais des laitages, j’avais des grands moments d’anxiété, déprime, mal-être … et de colère.
J’ai remarqué que chez certaines personnes, la viande rouge les rend plus agressifs. Quand il y a un petit fond bouillonant d’énervement, le fait de manger la viande rouge va accélérer l’explosion… Pareil, à tester si ça vous parle.
Tester pour voir ! >> J’ai arrêté pendant 2 semaines les laitages. Puis j’ai recommencé à en manger. Et j’ai tout de suite vu un impact sur mon état intérieur.
A vous de voir si cela vous parle et d’explorer l’éventuel impact de votre alimentation sur votre colère…
Et les énergies…
Quand la colère est là, il est souvent conseillé de sortir et d’aller respirer un coup…
Mais quand je suis hypnotisée par la colère, je crois être dans une certaine « légitimité » et que c’est « juste ». Alors que ce n’est ni juste, ni légitime. Et je n’arrive pas à sortir de cette colère, comme si je n’avais pas la possibilité d’atteindre le bouton « stop ».
Là, vous pouvez dire que c’est complètement idiot… Mais je partage quand même mon ressenti.
Je suis de plus en plus sensible aux énergies autour de moi ou des personnes. Et j’ai remarqué que chez certaines personnes, quand la personne est en colère, son énergie est très différente : je ne la reconnais pas et cette énergie me dérange.
Cela rejoint ce que mon conjoint disait : en colère, je n’ai pas le même regard, il a une autre personne devant lui.
Les entités de bas astral sont hélas une réalité… Je vous laisse faire vos recherches sur le parasitage d’âme…
J’ai l’impression que certaines personnes (et sûrement moi) se font parfois parasiter : une entité vient prendre les manettes.
Cela n’excuse aucunement les crises de colère. C’est une piste pour expliquer le sentiment d’assister impuissant à ce qui se déroule et l’incapacité de se calmer.
Quelques expressions, sagesse populaire ?
« Les mots ont dépassé ma pensée ». (qui parle alors ?)
« Je ne le pensais pas ».
« Je me suis mise hors de moi ». Hors de moi? mais alors qui était aux manettes ?
Garder un niveau vibratoire haut
Si vous pensez être dans cette situation, il est d’autant plus important d’être hyper vigilant sur votre état émotionnel et vibratoire.
Le parasitage a lieu si mon énergie est trop basse (mal-être, reproches intérieurs…). Si je remonte mon niveau d’énergie, je me fais moins parasiter et en plus, je peux m’en débarasser plus facilement.
Depuis que j’ai compris cela, je mets un point d’honneur à ne pas être en colère : je refuse qu’on prenne les manettes à mon insu ! Je suis chez moi. Je n’ai pas envie d’être mise hors de moi.
Pour garder un niveau vibratoire élevé, je l’ai déjà évoqué lorsque je parlais de techniques pour gérer sa colère : contact avec la nature, faire des choses qui nous font plaisir, écouter certaines musiques (notamment classiques), rire (beaucoup), éviter tout ce qui fait descendre les vibrations (nourriture, films horreur/ avec des morts, jeux videos violents, entourage dans la peur…).
En ce qui concerne les pervers narcissiques, narcisses, et autres individus sans empathie, l’énergie de l’individu en colère est la même… Mais la colère leur permet de prendre le dessus sur l’autre et de lui voler son énergie. Ce processus est très bien décrit dans La prophétie des andes, best seller de James Redfield qui explique beaucoup de choses sur l’énergie et qui se lit très facilement.
Même si on est parasité, quand nous nous mettons en colère, nous prenons l’énergie de l’autre, au lieu d’aller se recharger de façon positive en allant dans la nature, en faisant du sport…
Au delà des mots qui blessent, il y a une réalité énergétique … qui donne envie de ne plus jamais se mettre en colère.
Pour aller plus loin si ça résonne en vous
La prophétie des Andes est écrit sous forme de roman d’aventure. Je l’ai dévoré et mon compagnon qui ne lit pas beaucoup, l’a aussi lu d’une traite. Et ce qui est écrit, est une réalité de ce qu’il se passe au niveau énergétique même si on ne le voit pas…
Un ebook écrit par Lulumineuse qui parle notamment de l’état hypnotique dans lequel on est sous le coup de la colère, du stress… Hyper intéressant et très facile à lire !